Comment deux personnes qui ne se sont jamais rencontrées, ont-elles réussi à tisser des liens qui vont au-delà d’une simple amitié ? Comment deux étrangers ont-ils fait pour surpasser leurs différences et devenir deux compagnons inséparables ? Comment peut-on se sentir unis par des sentiments qui transcendent les idées reçues ? C’est autant de questions que, moi-même et Salaber, nous nous posons...
Détends-toi...
Que de jours passés sans vous écrire. Il me semble avoir été happé par le temps, n’avoir pas vécu plus d’une heure depuis ma dernière lettre. Mais laissez-moi vous décrire la maison où je me suis réfugié tout ce temps afin de fuir un monde qui m’accable autant par ses hérésies que par ses mensonges.
C’est avec un plaisir non dissimulé que je constate votre indulgence, et même votre intérêt notoire à mon égard. J'ai en effet le pouvoir de lire vos pensées, de sonder et d'apprécier vos désirs les plus vils, les plus abjects, les plus ignobles, de pénétrer vos souhaits les plus infâmes et les plus détestables au goût des humains.
je ne dois pas pleurer, je suis faite pour sourire je bercerai ton cœur sur les flots de mes larmes je te dirai non quand je penserais oui Je me plaindrai de ces choses mal acquises Mais je ne te soufflerai plus des "je t'aime" Qui se traînent à mes pieds pour ne pas les abandonner J'ai plonger dans tes yeux que je trouvais merveilleux, Dans l'abîme de ce profond regard, une...
"Vous pouvez également suivre l'évolution de mon aventure depuis le départ, le 02 octobre 2008, sur mon ancien blog sur lequel je ne parviens plus à poster : human-brother.blogspot.com. J’ai également posté sur facebook des photos et quelques observations reflétant mes états d’âme. Et, si Dieu me permet de poursuivre la quête et l’exploit sportif, je publierais sur ce nouveau blog, qui sans...
Courte correspondance pendant la seconde guerre mondiale
la douleur des mots.
On dit de moi que je suis capitaine courageux et que la plus impétueuse des tempêtes ne pourrait me prêter la moindre frayeur. Peut-être est-ce à moitié vrai. Mais qu'en est-il de ces remous intérieurs qui me remuent l'esprit une fois la nuit tombée? lorsque je me retrouve comme un pauvre Robinson endeuillé de son fidèle Vendredi. Laissez-moi vous le redire encore, Aurore. Ma joie fut à son...