Je finis cette « collection » de TRAUMA en essayant de poursuivre ma réflexion ou ma sensation humaniste ébauchée dans « Job et moi ». Le traumatisme d'avoir perdu ma meilleure amie dont j'étais si proche depuis près de dix ans, et ce à cause d'une foutue dépression, courte et intense, est je pense ineffaçable surtout quand cette amie est qui plus est une collègue d'une profession qui compte une...