La Poésie est morte. De sa belle mort, c'est-à-dire de vieillesse ? Ou bien l'a-t-on assassinée ? Mais alors, qui ? Une enquête révèlerait probablement ce que l'intuition nous souffle : les coupables sont à chercher parmi ses proches. Mais peu importe ! L'auteur vient ici déposer sur sa tombe cet humble bouquet de fleurs cueillies par les prés de la fantaisie et de l'amour, de la douleur et de la joie.