C’était dans le silence appuyant son corps pâle, dans la mélancolie de sa mort. C’était dans cette scène de peine déchirante, que le temps changerait.
Lente et mourante, personne ne savait.
Les aiguilles eurent un sursaut, chaque secondes à l’arrêt. Juste pour réaliser.
Et puis le soleil égal à son sourire s’évapora dans les nuages. Dans le ciel bleu qui se reflétait dans ses yeux, naquirent de sombres pages. Des lettres noires, sans avenir qui annonçaient la tempête, dans le côté obscure, que seules les gouttes froides et violente dans le vent semblaient animés. Que seuls les éclairs éclairaient.
L’obscurité s’imposait. Le ciel pourtant sage, devint coléreux, douleur et peine, il aurait pu tuer tout ceux qui habitait sous son aile.[ ... ]
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