Ma grand-tante Elise Lejars habitait un cinquième étage à Paris, une 'chambre de bonne', ce qu'elle était. C'était la Belle Epoque... mais pas pour tout le monde ! Voici son grand succès, l'histoire qu'elle racontait souvent, et dont nous ne nous lassions pas, malgré ou à cause de ses sous-entendus. Il y manque sa voix, son délicieux accent du centre de la France : r roulés, élisions, et surtout la subtile insolence...
Quelqu'un connaît-il l'auteur de ce texte ? J'en ai trouvé une version anonyme dans une revue scolaire lorraine, avec un narrateur masculin.
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