Quand on tombe malade, d'une maladie 'honteuse' dans notre bonne société et que dans un cercle des plus vicieux, on perd en plus sa plus chère amie, c'est tout un monde qui s'écroule et le livre de Job, celui qu'on ne regardait jamais dans la Bible, devient tout d'un coup tellement parlant. Quel sens peut alors avoir encore l'existence si ce n'est celui que veut bien lui imprimer ou lui réimprimer (en deuxième lecture) l'Amour pour réinventer son histoire et renouveler son regard sur le monde ? Dès lors, il faut aller jusqu'au bout du parcours et aimer tout le monde ou bien personne. Rien à voir avec 'tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil' car il s'agit bien d'une lutte de chaque jour contre ses propres limites à aimer. De l'orgueil m'a t on demandé en message privé ? Je répondrais oui si c'est une femme, comme moi, qui le dit. Car on n'a jamais dit du Dalaï Lama qu'il était orgueilleux.
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