J'entendis alors sa voix de Vargas Llosa : «Miss Trak, interjeta-t-il gentiment, avait donné une fortune à un organisme de bienfaisance qui récompensait chaque année le plus beau roman d'amour. Cette femme, si l'on t'écoute, ne connaissait rien à l'amour. Or sa vie témoigne de l'invraisemblance de tes propos.»
Quand le sujet me tient à cœur, je mets tout mon âme à l'ouvrage. Sur le tard j'ai trouvé mon dada : le Mahabharata et la Bhagavad-gita, une passion de jeunesse que j'avais plus ou moins perdu de vue et qui m'est revenue avec autant de vigueur, à mon grand étonnement et beaucoup de plaisir.
D'abord l'image du livre et le passage en question, puis je commente : 'Comme on dit poésie, on dit spiritualité...'
Je donne l'impression d'une personne qui n'aime pas les religions, ou certaines d'entre elles, que je suis amoureux de l'Inde et, par conséquent, que je dois être plus conciliant avec leurs traditions religieuses. C'est mal me connaître
À propos de l'âme. Je critique le magazine Le Monde des Religions qui raconte n'importe quoi sur le sujet en guise d'information.
L'opinion que je vais présenter ne m'engage que moi, je suis musulmane je vais parler sans ambage. Pourquoi diviser les Balkans quand l'Europe s'unit ?
On ne peut pas résumer 400 ans d'esclavage franco-anglophone... mais on peut continuer à espérer qu'un jour nous ne soyons plus des NBD'A/some AWN. Des Nègres Blancs d'Amérique. Des Amercian White Niggers... En mémoire de tous les Pierre du Pays encore à naître : Bourgault, Vallières et Falardeau.