C'est bien ce qui fonde l'humain. L'homme, au creux de la nuit, se lève. Frivole et fugace étincelle, il danse sur fond de sombre noir. Au mur de sa caverne, il applique ses mains, avant qu'il ne s'efface. Parlant, il passe d'abîme en abîme, émergeant du néant pour y retourner aussitôt sa parole tue.
Après la sortie de route, il faut aussi apprendre le dérapage contrôlé...
Laisser parler son coeur
«Lorsqu'il n'y aura plus d'amants heureux, le ciel perdra sa couleur.» Wilhelm Reich
pensée poétique sur l'instent présent